Capitaine Marla DIANTE

Capitaine Marla DIANTE

FICHE INDIVIDUELLE DE RENSEIGNEMENT

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Etat civil

Etat civil

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Etat militaire

Etat militaire

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Missions réalisées :

• Hors jeu 170.0 xp

Distinctions obtenues : Néant

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Données SWMI

Donnees SWMI

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Biographie

Biographie

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Jeunesse :
Né sur Coruscent, Marla est issu de la haute aristocratie de la planète Corulag. Son père était membre du lobbing de Corulag afin que la planète conserve le contrôle sur la Voie Hydienne et était richissime. Marla faisait partie de la jeunesse dorée de Coruscent, sa planète d’origine ne représentant pour elle qu’une vague destination de vacances et de cérémonie pompeuse. Son père passionné de tir et de chasse lui transmis le virus, et elle se mit rapidement à parcourir la galaxie dans des safaris couteux avec ou sans son père. Elle s’y ennuya pourtant rapidement, ne trouvant pas de plaisir dans le fait de tirer une cible avec dix gardes du corps. Elle s’organisa alors en secret des expéditions plus…extrême ou elle risqua sa vie une bonne quinzaine de fois.
La guerre civile ne fut pour elle qu’un sujet lointain, protégé à outrance par ses parents qui ne voyaient en elle qu’une jeune femme fragile. Elle fut pourtant présente lors de la bataille de Coruscent, d’où, échappant à la vigilance de son garde du corps, elle eut une scène grandiose de la bataille.
L’année -18 signa la ruine de Corulag. La gestion des voies commerciales repris en main par l’empire, la planète perdit tous ses avantages. La famille de Marla n’échappa pas à la règle. A vrai dire, la jeune femme n’en fut pas plus affecté. Son père, bien qu’ayant préféré avoir un fils l’avait fait former pour qu’elle puisse reprendre sa place, mais une telle vie était, de la vie de Marla, mortellement ennuyeuse. Cette faillite signifiait pour elle échappé à cette vie. Son père peinant à se reconvertir en petit fonctionnaire impérial, la jeune femme prit son indépendance à la recherche du shoot d’adrénaline a laquelle elle était devenu accros. L’armée semblait toute trouvée.

Engagement :
Hélas, pour elle, las troupes terrestres refusèrent son engagement, et c’est donc par dépit qu’elle rejoint la Marine, ou ses formations supérieures lui permit de rejoindre directement le corps des élèves-officiers. Mais la suite de sa carrière ne fut pour elle qu’une succession de désillusion. Elle ne parvint jamais à aimer la marine, et son fort caractère lui valurent rapidement l’aversion de ses supérieurs. Qu’elle soit une femme n’arrangeait rien. Ses rêves de chasses étaient de plus en plus loin, et on l’enterrait sous les tâches administratives les plus rébarbative. Compétente pour autant, elle parvint malgré tout à ses hisser dans la hiérarchie jusqu’au rang de Commander, ou elle reçut sa première affectation : officier des chasseurs sur l’Audacieux, un antique croiseur stellaire de classe Venator qui venait d’être détaché de la protection de l’Etoile de la Mort.
Si l’administratif au sol était déjà un enfer pour elle, Marla le regretta bien vite tant elle s’ennuyait. Bien moins performant que les nouveaux vaisseaux de guerre, l’Audacieux n’était attaché qu’a de la mission de surveillance de système paisible ou au fret de petite unités de troopers ou de chasseurs. Le rythme de sa vie semblait s’étendre sans fin. Son poste était une farce, à peine une trentaine de chasseurs TIE étaient affecté au bâtiment. Marla serrait les dents, rongeait son frein. Son caractère déjà fort devint acariâtre et elle profitait de chaque occasion qui les aléas des missions lui donnaient pour faire sortir ses chasseurs et elle le faisait avec compétence. Sa hargne plus à son officier commandant, un Commodor vieillissant, qui lors d’un remaniement la fit devenir officier second.
Malgré tout, son quotidien était toujours aussi insupportable pour elle. Elle n’avait toujours pas renoncé à ses aspirations. Elle était devenue dure, autoritaire, et savait parfaitement se faire entendre sur la passerelle, sa voix claquant comme un fouet. Mais elle gardait une lueur d’espoirs. L’Audacieux serait bientôt réformé, et elle aurait une nouvelle affectation. Avec l’appuis de son OC elle priait ardemment à obtenir enfin un poste qui répondrait à ses attentes. Mais son caractère la desservit, et quelques semaines avant le réforme du croiseur, elle se brouilla avec son OC. La farce qu’il lui concocta fut ô combien cruel.
Il lui annonça lui-même.
« Commander Diante, à l’issus de ce vol, vous serez promut capitaine, félicitation. »
Le Commodor tenait deux lettres dans sa main. L’annonce de la promotion, et celle de la prochaine affectation de Marla. Il souriait cyniquement, alors que les yeux de Marla s’éclairaient d’espoir.
« J’ai aussi votre ordre d’affectation, vous souhait ont été entendu mon petit, vous êtes affecté dans le secteur de Khââl. »
L’homme se retenait d’hurler de rire. Etais-ce une larme qui perlait dans l’œil de la femme ? Il le voit les attentent. Une zone de conflit, d’action et de tension. La promesse d’une vie trépidante, après quinze mornes année. Et il allait détruire les espoirs de cette garce à néant.
« Sur la base lunaire de recherche scientifique Octave III »
Et là, le visage se décompose. Les épaules trembles. Mais il est déçu. Marla reste digne, encaisse la déception. Le visage de commodor se tend. Ses lèvres font la moue, telle un enfant boudeur. Il tend les lettres. Marla les saisi, salua avant de tourner les talons. Elle ne lui avait pas laissé le plaisir de voir toutes sa déception. Mais, une fois seul dans sa cabine, elle pleura de rage.
Sur sa dernière affectation, Marla semble encore plus désabusé qu’auparavant. Ceux qui l’aurait connu auparavant la trouverai presque moins tranchante. Presque. Une chose est certaine, elle n’a aucun intérêt pour la recherche scientifique. Elle se contente d’en savoir le strict minimum pour faire son travail correctement. Passé cela elle est ouvertement désagréable avec les scientifiques de la base et ne compte certainement pas les laissez outre passer leur prérogative, ou opérer au-delà de ce qui était prévu, étant intraitable avec quiconque d’entre eux ne respecterai pas le protocole de sécurité.
Et voilà maintenant trois ans que Marla est affecté sur la base Octave III. Elle tient toujours son poste avec compétence. Oublié par sa hiérarchie. Elle a laissé toute espoirs sur l’Audacieux, n’a apporté que sa morosité et sa rage. Elle n’aura jamais eu l’occasion de briller et ne l’aurait jamais. Perdu sur ce caillou, dans un coin obscur de la galaxie.

Son visage fermé que ne vient jamais éclairer un sourire aurait pu être beau cependant. Ses traits fins demeures malgré les rides à présent profondément marqué, principalement intersourcilières et plus particulièrement la ride d’amertume. Signe visible d’une vie marqué par l’ennuie, la déception, et l’acharnement à essayer de prouver sa valeur. Ses cheveux blonds toujours attaché dans un chignon haut impeccable, ils se strient déjà de blanc, soulignant encore d’avantage son regard bleu glacial. Plutôt grande (1m71) la femme s’entretien physiquement et possède une carrure certaine, musclé et dénué de gras superflue (69kg), ce qui avec son regard dure et sa voix claquante comme un fouet suffit largement à ramener à l’ordre le subalterne récalcitrant. Beaucoup en oublie sa silhouette malgré tout très féminine qui n’a pas laissé indifférent les hommes auxquelles elle l’a révélé. Gare à celui qui en fera la remarque hors de l’intimité cependant. Les médecins d’Octave III et de ses précédentes affectations ont vu leur lot de blessures à l’aine des malheureux.

Marla est une personne sombre et morose. C’est un officier intraitable qui ne laisse rien passé et fait preuve d’une imagination débordante pour casser et punir le subalterne ne répondant pas à ses attentes. L’ensemble de sa carrière ne fut qu’une suite de désillusion. Et la jeune fille dynamique, enjoué, voir irresponsable a laissé sa place à l’amertume. Stricte, compétente, rigoureuse, rare sont les personnes à l’avoir vu tomber son masque, souvent un soir de permission, une bouteille d’alcool fort vidé. Plusieurs visages peuvent apparaitre alors. Soit la jeune femme pleine d’espoir et addict de tire et d’adrénaline, joyeuse et insouciante. Soit la femme désabusée et désespérer, qui pour une fois abandonné sa colère froide et constante pour se laisser aller au larme.

Combien de fois n’a-t-elle pensé quitté l’armée, tenter à nouveau sa chance chez les troopers à présent qu’ils sont devenu moins coincé. Mais elle sait que personne ne la transfèrera de corps, et que malgré sa forme physique, elle est à présent trop vieille pour passer les tests d’aptitude des hommes du rang. Mais alors ? Pourquoi n’a-t-elle jamais quitté l’armée ? Là encore, la femme se sent à présent bloqué, trop vieille, elle ne saurait rien faire d’autre, et malgré toutes les déceptions subsiste au fond d’elle un espoir d’être un jour affecté sur un poste qui répondra à ses demandes d’adrénaline.

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